Pour votre grand bonheur votre reporter sans frontière était présente à cette grande réunion de Fidélis et a consigné dans son petit carnet les boires (burp) et les déboires de chacun.
Tous les personnages cités ont fait peu ou prou tout ce qui sera relaté à la suite (fallait pas m'inviter
)
En ce matin du 24 juillet de l'an 2005 (ça m'arrange je suis plus jeune ainsi) j'arrivais sans trop d'encombre ni de détour au lieu sus nommé "Le mesnil". J'avisais la caravane (carré blanc) cela ne pouvait être que là et des têtes se tournèrent d'un seul bloc (ça fait peur) vers ma charriotte familliale.
"...te fout pas là andouille, tu vas géner tout le monde" (diplomatie grattefessiène) "...ce serait plus judicieux de te mettre à côté de ma voiture...tu veux que je le fasse?" (inquiétude RXienne). Bref j'étais dans la place. On m'offrit généreusement un café (que je dû aller chercher) une chaise (que l'on m'a piqué en allant me chercher mon café) et une demi tartine de brioche (calcul savant d'air x).
Ambiance colonie de vacances au réveil, des enfants partout sautant gaiement, plein d'entrain et des adulte contraint à ce réveiller à 11h du matin (vous apprécierez les rime digne d'un quatrain
).
Le premier scoop vint alors percuter mes oreilles: un belge se retrouve toujours même en france.
Le sieur bouba et sa smala était arrivé dès le vendredi 9h et décidèrent d'aller tater la mer (pas la mienne) à Saint malo. Sieur Manon (qu'est en fait la fille de sa femme qui n'a jamais joué, bref Florent) et le Gratte arrivèrent eux aussi au gite et décidèrent d'aller chasser l'ours. Allant de concert à la cité médiéval, la faim eut raison de leur appétit et ils allèrent comme un seul homme à la taverne la plus proche. Mais un affamé en vaut deux voir trois bref l'ourson était en train de regarder avidemment le même menu et ce fût alors éffusion et garguantisme qu'encore à présent le seul récit de ce que Gratte à pû manger me rempli d'admiration.
La moral est que si tu perd un ours tu le retrouvera forcément au resto.